Si, de ma prépa à Duruy, je devais garder…
- un souvenir : les concours blancs ! Du saut d’obstacles pur et dur, un très beau moyen de se dépasser intellectuellement (et physiquement).
- un livre : La Dispute, de Marivaux, efficace et tellement moderne ! Un Black Mirror, version 1744.
Mon parcours prépa à Duruy m’a beaucoup apporté, tant sur le plan humain qu’intellectuel. Après un bac SES et HGG, j’ai choisi la CPGE A/L pour approfondir mes connaissances en humanités. Chaque jour au contact de professeurs passionnés, mon horizon de pensée s’est considérablement élargi et façonne encore mes perspectives. Au-delà de l’apport culturel de l’hypokhâgne-khâgne, la CPGE m’a permis de structurer ma pensée, de développer curiosité et confiance en moi. Forger des amitiés, admirer et admirer encore ceux qui consacraient leur vie à nous faire grandir, lire à l’ombre du cerisier lorsque les jours se faisaient beaux… Nos années Duruy.
Après Duruy ?
J’ai intégré Audencia où je suis un double parcours avec l’École du Louvre, avec pour objectif de travailler dans le marché de l’art. Une belle respiration loin de la gestion financière.